« Les amendements proposés par le Comité sénatorial mettent en évidence les dangers d’une influence des bureaucrates sur la politique correctionnelle. Encore une fois, les témoignages des professionnels travaillant dans les pénitenciers canadiens n’ont pas été pris en compte pour une avoir une évaluation juste des problèmes. Il est évident que le comité a accordé une grande importance aux positions des groupes d’intérêts par opposition aux témoignages de nombreux professionnels effectuant le travail sur le terrain. Maintenant que le projet de loi est de retour à la Chambre, espérons que ces amendements dangereux ne sont pas acceptés par la Chambre des communes, tout particulièrement le plafond de 48 heures. »
– Jeff Wilkins, président national.